Содержание
- 2. 04/09 : Un EEI décelé et neutralisé. BSS/Décembre 2020 03/12 : Dans le cadre de la
- 3. BSS/Décembre 2020 05/12 : Le colonel Malick Diaw, numéro deux de la junte, est élu à
- 4. 04/09 : Un EEI décelé et neutralisé. BSS/Décembre 2020 09/12 : Depuis plusieurs semaines, des hommes
- 5. BSS/Décembre 2020 10 au 14/12 : Les combats auraient repris entre combattants du GSIM et de
- 6. BSS/Décembre 2020 12/12, en début de soirée : Près de 70 hommes armés appartenant probablement à
- 7. 04/09 : Un EEI décelé et neutralisé. BSS/Décembre 2020 19/12 : Malgré les anomalies et des
- 8. BSS/Décembre 2020 21/12 : Près de la frontière malienne (non localisé précisément), une patrouille de l’armée
- 9. BSS/Décembre 2020 21/12 : Une opération conduite par Interpol en collaboration avec l’ONU au Mali, au
- 10. BSS/Décembre 2020 28/12 : Dans un communiqué rendu public ce jour, le procureur de la République
- 11. BSS/Octobre 2020 09/10 : En réponse à une demande du gouvernement, le parlement nigérien approuve la
- 12. BSS/Mars 2020 27/03 : Paris annonce la création de la force Takuba appelée à opérer principalement
- 13. Appréciation de situation : Sur le plan sécuritaire, la période écoulée a été marquée par une
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04/09 : Un EEI décelé et neutralisé.
BSS/Décembre 2020
03/12 : Dans le
04/09 : Un EEI décelé et neutralisé.
BSS/Décembre 2020
03/12 : Dans le
BSS/Décembre 2020
05/12 : Le colonel Malick Diaw, numéro deux de la
BSS/Décembre 2020
05/12 : Le colonel Malick Diaw, numéro deux de la
03/12 : Dans un entretien accordé à RFI et France 24, le Premier ministre malien de transition, Moctar Ouane, reconnaît les négociations conduites avec les groupes terroristes : « une dynamique en cours » pour « rétablir la sécurité sur l’ensemble du pays. »
03/12 soir : Les 121 membres du CNT (Conseil National de Transition) sont enfin connus. Parmi les membres de l’institution, on retrouve des proches de l’imam Dicko ainsi que plusieurs figures de l’ex-rébellion, comme Mohamed Ag Intalla, par ailleurs chef traditionnel de la tribu des Iforas à Kidal, dans le Nord-est du Mali.
06/12 : L’attaque d’un groupe armé dans la région de Farabougou fait deux tués, entre deux et six blessés, et un disparu.
04/09 : Un EEI décelé et neutralisé.
BSS/Décembre 2020
09/12 : Depuis plusieurs
04/09 : Un EEI décelé et neutralisé.
BSS/Décembre 2020
09/12 : Depuis plusieurs
En 2019, le Burkina Faso a extrait plus de 50 tonnes d’or, se plaçant au quatrième rang des pays producteurs d’Afrique.
BSS/Décembre 2020
10 au 14/12 : Les combats auraient repris entre combattants
BSS/Décembre 2020
10 au 14/12 : Les combats auraient repris entre combattants
Précisions et commentaire : Une erreur, selon nous, car il existe des degrés dans la gradation de l’ennemi. Rappelons la principale différence entre les deux groupes : l’EIGS vise l’instauration d’un califat transnational là où le GSIM se fonde d’abord sur l’ethnie et se concentre par conséquent sur le niveau local _ l’Azawad pour les Touaregs, le Macina pour les Peuls _ en premier. Si la France se déclare en guerre contre le terrorisme islamiste international, son principal ennemi est bel et bien l’EIGS, et non le GSIM en pourparlers avec Bamako.
BSS/Décembre 2020
12/12, en début de soirée : Près de 70 hommes
BSS/Décembre 2020
12/12, en début de soirée : Près de 70 hommes
11/12 : Une attaque ciblant un « marcheur pour la paix » fait un mort (le « marcheur » arrivé la veille dans la localité) et deux blessés graves à Chétimari.
04/09 : Un EEI décelé et neutralisé.
BSS/Décembre 2020
19/12 : Malgré les
04/09 : Un EEI décelé et neutralisé.
BSS/Décembre 2020
19/12 : Malgré les
BSS/Décembre 2020
21/12 : Près de la frontière malienne (non localisé précisément),
BSS/Décembre 2020
21/12 : Près de la frontière malienne (non localisé précisément),
BSS/Décembre 2020
21/12 : Une opération conduite par Interpol en collaboration avec
BSS/Décembre 2020
21/12 : Une opération conduite par Interpol en collaboration avec
23/12 : Dans un rapport remis aux membres du Conseil de sécurité de l’ONU, la « Commission d’enquête internationale pour le Mali », composée d’experts internationaux indépendants, accuse les groupes armées terroristes et la milice Dan Na Amassagou de crimes contre l’humanité. Toutes les parties prenantes au conflit, dont les groupes armées signataires des accords de paix, mais aussi et surtout l’armée malienne sont accusées de crimes de guerre sur la période étudiée de janvier 2012 à janvier 2018.
Entre le 21 et le 23/12 : Sept personnalités importantes issues du monde des médias, des institutions maliennes ou même de la présidence sont arrêtées par la sécurité d’État.
24/12 : Deux des personnes arrêtées sont relâchées. De son côté, l’ex-Premier ministre Boubou Cissé porte plainte contre X après l’irruption chez lui, en son absence, d’hommes armés qui auraient agressé ses employés et fouillé sa maison.
BSS/Décembre 2020
28/12 : Dans un communiqué rendu public ce jour, le
BSS/Décembre 2020
28/12 : Dans un communiqué rendu public ce jour, le
31/12 : Une information judiciaire est ouverte contre l’ex-Premier ministre Boubou Cissé.
28/12 : Trois soldats de la Force Barkhane appartenant au 1er régiment de chasseurs sont tués dans l’explosion d’un EEI entre Hombori et Gossi.
BSS/Octobre 2020
09/10 : En réponse à une demande du gouvernement, le
BSS/Octobre 2020
09/10 : En réponse à une demande du gouvernement, le
BSS/Mars 2020
27/03 : Paris annonce la création de la force Takuba
BSS/Mars 2020
27/03 : Paris annonce la création de la force Takuba
Appréciation de situation :
Sur le plan sécuritaire, la période écoulée
Appréciation de situation :
Sur le plan sécuritaire, la période écoulée
Durant le mois de décembre, six incidents notables ont été recensés, soit trois de moins par rapport au mois précédent et le meilleur résultat de cette année. Ces incidents ont entraîné la mort d’au-moins 49 personnes (dont quatre djihadistes [mais certainement bien davantage du fait des combats entre groupes rivaux et des bombardements de la Force Barkhane], cinq soldats nigériens [+5], trois soldats français [+3] et 37 civils [+17]). Entre quatre et huit civils ont, en outre, été blessés et un est porté disparu.
Bien que toujours limités, les affrontements interethniques ont persisté entre Peuls et Bambaras dans la région de Farabougou, au nord-est de Bamako. En dépit de l’action d’hommes armés, probablement peuls, contre des civils, l’armée semble vouloir temporiser en dialoguant avec les premiers, espérant pouvoir résoudre la crise en douceur autour de palabres. Il y a cependant peu de chances, dans de telles conditions, que la situation sur place évolue favorablement dans les mois à venir.
BSS/Décembre 2020